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#UEGS1France
Temps de visionnage : 15 min
La crise de la Covid-19 a bien involontairement œuvré pour la dématérialisation.Pendant le confinement, des flux d’informations ont remplacé certains flux physiques. Télétravail, visioconférences, courses en ligne, téléconsultations et téléenseignement ont explosé provoquant « l’accélération de la révolution numérique », comme le souligne Philippe Lemoine. Imposant au passage de repenser ce qu’est une entreprise, un magasin, un cabinet médical ou une école…
Les défis ne s’arrêtent pas là. Si l’on veut faire du numérique un instrument au service d’une croissance plus « verte » car reposant moins sur des ressources matérielles et pour certaines épuisables, le président du Conseil de surveillance de GS1 France invite à sortir du cadre. Et pour commencer à ne pas répéter les erreurs du passé. La dématérialisation de la croissance, telle qu’elle a été envisagée jusqu’à aujourd’hui a surtout tenu de « la fable », selon lui.
L’urgence écologique nous oblige à être ambitieux. « Dématérialiser la croissance impose de repenser le rapport entre économie et environnement pour dépasser la vision de l’économie monétaire.» Un appel à voir la croissance collective sous un jour nouveau et pas uniquement sous celui d’une augmentation de la richesse matérielle. Et sans pour autant céder à la décroissance… Pour cela, Philippe Lemoine fixe la marche à suivre. « Il faut commencer par savoir que ce l’on veut faire croître et ce que l’on voudrait faire décroître. »
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