GS1 et le passeport numériques des produits
Un système mondial éprouvé, des standards ouverts et une expertise multi-sectorielle
Depuis plus de 50 ans, GS1 attribue des identifiants et des codes-barres reconnus mondialement, pleinement conformes à la norme ISO/IEC 15459.
Cette conformité confère à GS1 un rôle unique parmi les agences émettrices des identifiants, pour soutenir le passeport numérique des produits (DPP), qui s’appuie sur ce même cadre international et répondre à plusieurs besoins des acteurs :
Conformité réglementaire
Les identifiants uniques et les données structurées permettront aux metteurs en marché de collecter et partager des informations clés conformément aux réglementations.
Contribue à l’économie circulaire
Les consommateurs et les réparateurs auront accès à des données pour optimiser la récupération et la réutilisation des produits avant qu'ils ne deviennent des déchets.
Traçabilité et transparence accrues
Les consommateurs auront une meilleure visibilité sur l'impact environnemental des produits, les aidant à ajuster leurs achats en conséquence.
Des secteurs déjà en mouvement !
GS1 France participe activement à plusieurs initiatives et avancées pour faciliter le déploiement du DPP.
- Equipements électriques et électronique
- Construction
- Pneus
GS1 France s’associe à Ecosystem (.arianee, Fnac Darty, BEKO et ENVIE) pour déployer une solution de traçabilité globale des équipements électriques, électroniques et batteries.
L’initiative vise à tester un passeport numérique des produits (DPP), à garantir transparence et suivi tout au long du cycle de vie, et à poser les bases d’outils communs au service de l’économie circulaire.
La base de données EPREL intègre le GTIN : une avancée stratégique vers le DPP
Le GTIN est désormais interrogeable dans la base EPREL, renforçant l’identification harmonisée des produits à étiquetage énergétique. Cette évolution facilite la structuration et la traçabilité des données produit, en phase avec les futures exigences du passeport numérique des produits (DPP).
Dans le cadre du consortium CIRPASS 2, GS1 France participe au pilote COB sur les produits de construction
- Objectif : améliorer l’échange d’informations et la collaboration sur tout le cycle de vie des produits de construction.
- Bénéfices : répondre aux exigences croissantes de digitalisation et de durabilité, en ligne avec les réglementations RPC et ESPR.
- Points techniques : DPP et les normes ouvertes interopérables dans une approche multipartite.
- Parties prenantes : Cobuilder, GS1 France, Soprema, Velux, Valobat et d’autres acteurs.
Dans le cadre du consortium CIRPASS 2, GS1 France participe au pilote Michelin sur les pneus
- Objectif : démontrer que le DPP facilite la circularité des pneus.
- Bénéfices : numériser le pneu pour mieux l’éco-concevoir, le rechaper, le recycler et prolonger sa durée de vie.
- Points techniques : Standards d’identification GS1, tags RFID, intégration au dataspace GDSO.
- Parties prenantes : Michelin, GS1 France, Enviro, BASF, Pneuhoge, Aliapur,GS1 France, Regom, Svensk Däckatervinning AB, TC Transports, Euromaster, Recamic, GDSO, Azur – Allianz Zukunft Reifen.
‟
Le Passeport numérique des produits (DPP ou Digital Product Passport) est une opportunité pour enrichir l’expérience de nos clients et se conformer aux nouveaux enjeux d’économie circulaire. Le parcours client doit être une expérience unique.
En ce sens, l’adoption des standards GS1 pour l’identification, combinée à l’utilisation des tags RFID, permet de répondre aux besoins de transparence et d’interopérabilité. »
‟
Avec nos Producteurs, nous avons lancé une grande initiative autour de la traçabilité globale dans la f lière des équipements électriques et électroniques, en s’appuyant sur le Digital Product Passport (DPP).
En collaboration avec GS1, expert en standardisation, toutes les parties prenantes travaillent à créer de la valeur, convaincus qu’elle viendra de l’ensemble des acteurs de la filière : fabricants, distributeurs, réparateurs, acteurs du réemploi. »
‟
L’importance de travailler avec GS1, est de standardiser ces systèmes de traçabilité et d’avoir une norme, un standard harmonisé pour permettre aux acteurs de reconditionnement et du réemploi de faciliter la traçabilité de leurs produits. »
